Morwenna
Lu sur un marque-page trouvé chez un bouquiniste:

Si le livre avait été inventé après l'ordinateur il aurait constitué une avancée majeure. Ses qualités sont en effet remarquables: légèreté, disponibilité, faible coût, fontionnement, sans consommation d'énergie, qualité d'affichage optimale...

Héhé.


A part ça, je vais bien. Retour prévu à Oxford Dimanche, donc jusque là, je profite autant que possible des gens que je peux voir et de mon forfait téléphonique français - bien qu'il soit TRES limité... Et. Je lis :-)

Promis, je me remets à ce blog (et je réponds à mes mails, accessoirement) dès mon retour ; pour l'instant, je suis un peu (beaucoup) déconnectée du PC ;-). Mes excuses les plus plates.


Pensées tendres.
Morwenna
Oui, la France m'éloigne de mon blog. La France, ou plutôt les personnes que j'y retrouve.

C'est juste merveilleux.

Morwenna recharge ses batteries bien affaiblies auprès de ses chers et tendres, et, oh my god, que c'est plaisant.

Rien ne vaut. Le sourire de celui qu'on aime au réveil. Un rire échangé avec un(e) ami(e). Les bras de sa maman, les taquineries de sa petite soeur. Un repas partagé, où l'on se nourrit autant d'une discussion amicale que de ce qui se trouve dans notre assiette. Les ragots de deux mois de khâgne. Le fait de pouvoir réconforter ses ami(e)s en face, et non par internet ou téléphone. Une après-midi shopping entre amies.

Non, rien ne vaut tout ça. Comme vous m'avez manquée, très chers. Comme je suis heureuse de vous voir, vous parler, vous redécouvrir, aussi. Car. Le temps passe, la vie nous effleure, nous change, et. Certains chemins se séparent, parfois. Cette semaine, j'ai retrouvé le chemin menant à quelques personnes. Merci.

Merci à tous, à ceux que j'ai déjà revu, à ceux que je verrai la semaine prochaine, à ceux à qui je pense bien fort même si je n'aurai peut-être pas le temps de faire un coucou. Merci à vous pour votre affection.
Merci de me redonner des repères.

Non, décidemment, rien ne vaut votre amour, votre amitié.


[Sauf peut-être Gibert Joseph et une matinée shopping-coiffeur...?]
Pensées aimantes.
Morwenna
Home sweet home, oui, l'heure d'un petit retour aux sources a sonné.
Je rentre en France demain, et ne repartirai pour Oxford que début Novembre.

Il est temps de retrouver les repères familiers, les visages aimés. Ces sourires qui me manquent.

C'est reparti pour l'expédition Oxford-London, London-Lille, Lille-Lyon. Arf. La précipitation sur les quais, les bousculades, le traffic londonnien...!
M'enfin. Ce sera le sourire aux lèvres (enfin, presque) que je porterai mes valises et affronterai la capitale, tellement j'ai hâte de vous revoir. De courir dans vos bras.

Please, dears, réservez-moi une petite place dans vos agendas ;-)


Pensées impatientes.
(fichtre, mais comment, comment, vais-je réussir à dormir cette nuit ?
Vous me direz, ça changera pas beaucoup des dernières semaines...)
Morwenna
[ou : suivez la Tamise, elle vous guidera vers des chemins plus sereins...]



Il a plu toute la matinée, et le début d'après-midi. Puis. Soudain. Une éclaircie.
Morwenna en a profité pour s'aventurer hors de la ville, le temps d'une longue marche de long de la Tamise.

Un rayon de soleil, et. L'Angleterre dévoile son charme automnal...


















Le sourire d'un enfant croisé sur le chemin. Un peu de lecture sur un banc au bord de l'eau. Le soleil sur ma joue. L'odeur rassurante du feu de cheminée, au détour d'une rue. Inspirer à plein poumons l'air vivifiant. La lumière scintillante, illuminant la Tamise...


Pensées couleurs d'automne.


Morwenna
Le gouffre

Pascal avait son gouffre, avec lui se mouvant.
- Hélas ! tout est abîme, - action, désir, rêve,
Parole ! et sur mon poil qui tout droit se relève
Maintes fois de la Peur je sens passer le vent.

En haut, en bas, partout, la profondeur, la grève,
Le silence, l'espace affreux et captivant...
Sur le fond de mes nuits Dieu de son doigt savant
Dessine un cauchemar multiforme et sans trêve.

J'ai peur du sommeil comme on a peur d'un grand trou,
Tout plein de vague horreur, menant on ne sait où ;
Je ne vois qu'infini par toutes les fenêtres,

Et mon esprit, toujours du vertige hanté,
Jalouse du néant l'insensibilité.
Ah ! ne jamais sortir des Nombres et des Etres !


Charles Baudelaire.
Morwenna
La pluie est mauvaise conseillère. J'aurais au moins appris ça en Angleterre.

En effet, que fait une fille quand elle est en ville et se fait surprendre par une violente averse? Elle s'abrite. Dans un magasin. CQFD.

Que je vous explique un peu le topo.

Je sortais de cours et devais passer impérativement au Sainsbury (le Petit Casino/Intermarché local), question de me fournir en nourriture et autres articles féminins que je nommerais pas ici. Tout allait bien jusqu'à ce que je sorte du-dit Sainsbury.
J'étais résolue à prendre un café à emporter et à rentrer directement at home.
Sauf que je me suis fait vilement manipuler: dehors, il tombait des hallebardes - ou des "chats et des chiens", selon l'expression british.


Du coup, une seule solution : le repli dans le 'shopping center' le plus proche. Morwenna, contrainte et forcée par le malin démon anglais (c'est à dire la pluie), se retrouve donc dans l'antre de la consommation.

En face d'elle, 'River Island'. Magasin de vêtements inconnu, coloré, attrayant, au contenu apparement original.
Mon nouveau meilleur ami. Enfin, pour les vêtements soldés...
Non mais, comprenez-moi. Comment résister à cette merveilleuse petite robe à moitié prix?* Surtout quand je me suis regardée dans le miroir et me suis dit, pour une fois "ma fille, t'es pas si vilaine que ça" (et je parlais de moi, pas de la robe. Si si.).

Et puis.
La pluie ne s'était toujours pas arrêtée, alors. Je me suis vue obligée d'entrer chez WH Smith, une sorte de 'Maison de la presse', mais plus grande. Malheureusement.
Les boîtes aux lettres vont devenir aussi mes nouvelles meilleures amies, je crois. J'ai refait un petit plein de cartes postales.
Et craqué pour un livre, of course, sinon Morwenna ne serait plus Morwenna. Un bouquin de Georgette Hayer - romance historique s'inspirant des romans de Jane Austen.


Bref. Retenez bien ça, ô très chers : la pluie, c'est le mal.

Hélas, je suis en Angleterre...
(...et le pire, c'est que je n'ai toujours pas de parapluie.)



Pensées tendres.



* pour les curieux, la robe est là : Island River. Cliquez sur "search" en bas de la page, une fenêtre s'ouvre ; entrez le code du produit - "580034", et voilà...
Morwenna
Eh oui, deux billets pour le prix d'un ce soir ! Z'êtes gâtés !

Je n'ai encore rien écrit sur Londres. Shame on me !

A vrai dire, je n'en ai eu qu'un bref aperçu, mais cela mérite peut-être un petit billet. C'est Londres, quand même ! =)
J'ai pu découvrir un peu cette étonnante city à l'occasion d'un week-end (merveilleux, cela dit au passage...) à Lille, il y a deux semaines, entre le bus Oxord-London et l'Eurostar London St Pancras-Lille Europe.
J'avais quelques heures à tuer, que j'ai occupées en me baladant un peu aux alentours. En effet, Morwenna avait vraiment peur d'être en retard pour son train... et s'est donc retrouvée à Londres avec 4h d'avance. No comment, please ! * rire *
De toute façon, le touriste lambda a plutôt intérêt à avoir de l'avance à Londres. Entre les rues bizarrement organisées, la circulation, le monde... Mieux vaut avoir du temps... Et un plan !
Du coup, même en 4h, je n'ai pas eu le temps de faire grand chose - mais le peu que j'ai visité était formidable.

En effet, mon bus me dépose à... Baker Street. Cela vous parle-t-il ? Eh oui, c'est bien la célèbre rue où aurait résidé le grand Sherlock Holmes himself. Ayant été une fan inconditionnelle des oeuvres de Conan Doyle dans mes jeunes années, je ne pouvais ne pas aller visiter le musée de Sherlock Holmes.
Mes amis, si vous allez à Londres, IL FAUT y aller. Ce n'est pas immense, mais ça vaut vraiment le coup d'oeil.
Il suffit de franchir une porte, celle du 221B Baker Street, pour se retrouver propulser à la fin du XIXème siècle... L'appartement du grand détective a été reconstitué; et c'est tout simplement formidable.

Décors victoriens, véritables feu de cheminée, musique classique, personnel habillé en costume d'époque... Magique !

... Oui, bon, je sais - c'est une ancienne fan qui parle, donc pour l'objectivité, on repassera.
Mais. Quand même. C'était bien.

Sinon, je suis passée devant le musée Tussot. Devant la queue d'une longueur hallucinante, aussi. Malgré ce "détail"... Envie de le visiter, ce musée, maintenant ! C'est malin...

Autres impressions made in London ? La foule. Le bruit. Les coffee-shops partout. Les looks originaux. L'ambiance, si particulière. Les bus rouges.


Je sens qu'une autre escapade londonienne s'impose...!
Morwenna

Rien de bien nouveau sous le soleil (ou la pluie d'Oxford).

Car, voui, il pleut. Non-stop.


Alors quand vous me dîtes qu'en France il fait beau/chaud/lourd, je rigole doucement. Viendez donc à Oxford, m'ssieurs dames ! Z'aurez moins chaud, pour sûrr !

N'empêche que je me demande juste comment je vais supporter l'été français après un an ici. J'avais déjà du mal avec la chaleur, alors... Morwenna va virer à l'oursonne polaire d'ici Juillet ! Et puis, c'est dit : je HAIS les lunettes par temps de pluie.

A part ça, what's up ?
Hum...

In short :
La demoiselle française précédemment évoquée et moi-même nous sommes décidées à chercher un appartement ensemble, ou une colocation. Jo est vraiment friendly, mais je crois que j'ai besoin d'un "chez-moi" et de quelqu'un avec qui discuter plus souvent. Les soirées sont dures parfois...
Niveau études, premier essay rendu Lundi. On verra bien... Deux autres à suivre. Les cours sont toujours intéressants, mais. Je suis un peu perdue en "Culture & Society", pas de véritable fil conducteur entre les cours. Le tourisme, ben, beaucoup de business...^^ La littérature, sympathique, mais j'attends avec impatience un sujet qui m'intéressera plus.

Concernant le job, voici la réponse de Blackwell's :

"Dear Miss Cellupica

Thank you for your application for a position with the Company.

We are currently in the process of recruiting for a number of positions. If we wish to invite you to attend an interview, then you will hear from us shortly. If you do not hear from us then we will not be inviting you for an interview on this occasion. We will, however, hold your details on file for a short period and should a suitable vacancy arise, we will reconsider your application.

In the meantime, thank you for your interest in the Company.

Yours sincerely"



Ahem. Le grand retour du "shortly" ! Espérons que Blackwell's n'a pas la même notion du "shortly" que mon College [cf : ce billet], sinon... j'aurais la réponse fin Décembre !^^
Pas mal de projets en cours, donc, chers lecteurs, je vous tiendrai donc au courant de l'évolution de tout ça au fur et à mesure...




Pensées...humides !
Morwenna



"Dans la nuit il y a naturellement les sept merveilles
du monde et la grandeur et le tragique et le charme.
Les forêts s'y heurtent confusément avec des créatures de légende cachées dans les fourrés.
Il y a toi.

Dans la nuit il y a le pas du promeneur et celui de l'assassin
et celui du sergent de ville et la lumière du réverbère
et celle de la lanterne du chiffonnier.
Il y a toi.

Dans la nuit passent les trains et les bateaux
et le mirage des pays où il fait jour.
Les derniers souffles du crépuscule
et les premiers frissons de l'aube.
Il y a toi.

[...]

Toi qui es à la base de mes rêves
et qui secoues mon esprit plein de métamorphoses
et qui me laisses ton gant quand je baise ta main.
Dans la nuit il y a les étoiles
et le mouvement ténébreux de la mer,
des fleuves, des forêts, des villes, des herbes,des poumons de millions et millions d'êtres.


Dans la nuit il y a les merveilles du mondes.
Dans la nuit il n'y a pas d'anges gardiens
mais il y a le sommeil.
Dans la nuit il y a toi.

Dans le jour aussi."

"Les Espaces du sommeil" - Robert Desnos




Dans la nuit, dans le jour, il y a Toi.

Il y a vous.


Vous me manquez...
Morwenna
[...ou : Version Originale (NON) Sous-Titrée...]


Le Dimanche, quand on ne sait pas quoi faire à Oxford, eh ben, on va au cinéma. Le seul problème, c'est qu'il n'y a pas les sous-titres. On ne rigole pas. Un film en anglais 100% pur boeuf n'est pas des plus aisés à comprendre. J'ai pourtant pris l'habitude de regarder les films en VO, mais mit le sous-titrage anglais...!

Pour remédier à cet inconvénient, une solution: aller voir des films qui ne demandent pas trop de réflexion. Exit le cinéma hors-piste, les films avec une intrigue compliquées - pour commencer, on va se satisfaire de comédies romantiques et autres "popular movies". On ira voir les autres films en France... ou quand j'aurai "improve my English" (ahem).



Mon premier choix s'est donc porté sur (500) Days of Summer - qui sort bientôt sur les écrans français sous le titre de (500) jours ensemble. Je suis allée voir avec quelques étudiants francophones. On pensait avoir affaire à la comédie romantique de base, au pitch un brin gentillet mais non dénué d'humour. Erreur !

"Boy meets girl. Boy falls in love. Girl doesn't". Voilà le sous-titre de ce film. En gros : Tom rencontre Summer au travail. Coup de foudre. Summer est la femme de sa vie, Summer est fantastique. Problème : Summer ne croit pas au grand amour...

Ce n'est donc pas le film guimauve auquel je m'attendais. Le scénario est plus subtil qu'il en à l'air et les personnages sont charismatiques et non dénués d'épaisseur. Seulement, je pense que je n'ai pu apprécié ce film à sa juste valeur. Notamment, sur le plan de l'humour.
On se sent "un peu" à côté de la plaque quand la salle entière éclate de rire...et pas vous. Parfois, on ne comprend pas les termes employés, donc c'est excusable, mais frustrant tout de même. Parfois, les mots ont un sens. Mais. Pas la blague. Et là, c'est encore plus frustrant.

Surtout quand c'est la chute. La blague qui fait rire tout le monde et clôture le film sur une note humoristique.
Pénible.

Donc, à bons entendeurs : si jamais vous allez voir ce film, pleeaaase, expliquez-moi cette fin, nom de Zeus. =)



Ma deuxième séance de cinéma s'est déroulée cette après-midi. Avec une demoiselle française, nous sommes allées voir le remake de Fame. Hum. Pour tout dire, je n'avais pas vu l'original, donc je ne savais pas à quoi m'attendre. L'avantage, c'est que j'ai pas été déçue, n'ayant pas de point de comparaison ;-).

Fame ze remake, donc. Pour le coup, là, c'était gentillet. Oh, c'est fort sympathique, distrayant, les acteurs dansent/chantent bien - mais le scénario tient dans une cuillère à café.
Cela dit, c'est simple à comprendre, pas besoin de sous-titres pour saisir les tenants et pendants de l'intrigue - parfait pour occuper une après-midi entre amis, donc, et se distraire tout en perfectionnant (un peu^^) son anglais.

Par contre, je suis déçue : la célèbre chanson n'apparait que dans le générique de fin... Sniff !

Maintenant, plus qu'à voir l'original... Je pense que ça va me faire un choc, après cette version où les étudiants chantent du rap et ne sont pas "lookés" version années 80 ! * rire *


En tout cas, Morwenna pense qu'elle et la demoiselle précédemment citée vont faire des stages réguliers au cinéma, because les films prévus pour cet automne ont l'air très très alléchant...

Affaire à suivre, donc !




Pensées congelées
(fait froid ici !)

Morwenna
Hi dears !

Quasiment une semaine sans message, hum, je me laisse aller... Faut dire que mes journées étaient assez remplies, et souvent, le soir, je n'avais pas le courage de me mettre à écrire ici. Enfin, tentons de rattraper ce honteux retard.

Comme l'indique le titre de ce billet, j'essaye de m'adapter. De trouver mes marques. Plus le temps passe, plus le manque de vous se fait aiguë. C'est en partant loin qu'on se rend compte à quel point les gens qui nous sont chers sont des repères. Je me sens un peu perdue, loin de vous, parfois, comme s'il manquait mes essentiels. A la question, "Es-tu heureuse ?", je répondrais "Oui, mais...". Mais. C'est un peu égoïste, je sais, je devrais profiter de cette chance unique qui m'est offerte. Cependant, il me manque vos sourires.

Heureusement que je peux sentir votre présence grâce à vos mails, vos lettres, vos colis... Z'êtes formidables, my dears ! <3


Donc, face au blues qui pointe son nez (non, mais, aussi, le climat n'aide pas, hein, fait gris, fait froid... Oxford, dès Octobre, c'est Nicoletta power - "Il est mort, le Soleil... Il est mort, l'été !"), Morwenna a décidé de réagir.

Etape 1: se sentir un peu plus "at home".

Pour ça, j'ai fait un bricolage (ceux qui me connaissent vraiment bien vont rire, mais tant pis: oui, j'ai bricoler. Enfin pour moi, ça mérite le terme de bricolage en tout cas) made in Morwenna, qui m'a permis d'accrocher vos cartes.



Quelques livres savamment disposés, des Dvds, un peu de musique, des peluches sur le lit (on ne se moque paaas!), de suite, c'est plus chaleureux.



Etape 2: communiquer.

Promis, maintenant, je dirai quand cela ne va pas. Je l'ai fait hier soir, d'ailleurs. Merci à ma Larla de m'avoir fait rire. Merci à Lui d'avoir réussi à ouvrir les yeux, attraper le téléphone, et émettre des sons audibles - quelle copine indigne, quand même, le réveiller à 1h30 du matin ! ^^
Bref. Morwenna va tenter de ne pas garder tout pour elle, même si elle se sent ridicule.


Etape 3: empêcher le cerveau de se poser trop de questions.

Le cerveau est une entité fourbe. Il se met en marche quand on ne lui a rien demandé, produit des idées noires sans qu'on lui donne de carburant, et n'est pas encore équipé d'un bouton "stop". Du coup, je vais essayer de lui donner de quoi s'occuper pour qu'il laisse mon moral tranquille.
Un job serait l'idéal. Pour l'instant, pas de réponse de Blackwell's - au pire je tenterai ailleurs.
Sinon, je me suis un peu approvisionnée en livres in English, en DVDs.
Et puis. Morwenna va essayer de se sociabiliser un peu plus, notamment avec les élèves non-francophones.


Voilà. En tout cas, aujourd'hui, j'ai appliqué ma solution habituelle en cas de coup de blues : tournée des librairies ! =) Et. J'ai trouvé, en plus des bouquins, de belles cartes à vous envoyer, et le cadeau de mon darling - rien de tel que l'idée d'offrir quelque chose, ne serait-ce qu'une carte, pour me redonner le sourire...


Je vous aime, et vous dis à bientôt - je suis en train de faire le plein d'autres extravagances anglaises, héhé...





Pensées douce-amères.